COUVERTURE ISOTHERMIQUE SURVIE 210X140CM

COUVERTURE ISOTHERMIQUE SURVIE 210X140CM
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La couverture de survie est indispensable dans une trousse de secours

La couverture de survie non stérile sous sachet.


2 côtés or et argent pour au choix refroidir ou réchauffer la victime!


Dimensions : 140 x 210 cm.


Type : Isothermique.

 

Source YLEA

PAPILLOTTE, voila c’est dit.


Recouvrir la victime d’une couverture (dont la définition du Larousse est de recouvrir, protéger, tenir chaud) de survie ne sert à rien, s’il n’est pas enveloppé dedans.


La Couverture de survie n’a pas pour fonction de réchauffer sinon elle ne s’appellerait pas isotherme comme « même température » mais bien à conserver la température corporelle.


Son secret : une face dorée capable d'absorber 50 % de la chaleur et la face argentée qui reflète à 90 % le rayonnement infrarouge. Ce même rayonnement produit par le corps humain va se refléter à l’intérieur de la Couverture de survie (face grise donc vers l’intérieur) maintenant ainsi la température du corps de la victime recouverte en papillote. Je vous le disais !! 


S’il fait trop chaud, on met la face argentée vers l’extérieur, ce qui maintien par réflexion la température du corps hors de la chaleur extérieure, et s’il fait trop froid, on la retourne. Ainsi entre la température conservée par le côté argenté et l’absorption réalisée par le côté doré, on obtient une température adéquate aux environs de 37°c, température centrale, température normale.


 Vous ai-je dit que pour que cela soit efficace, il fallait que le corps soit bien emballé. Oui, je vous l’ai dit ?? ok.


Cependant, même si résistante, imputrescible, et imperméable, elle est fabriquée en polyester métallisé, on évitera donc de l’utiliser en cas d’orage, en présence de matière incandescente et en présence de risque d‘électrisation comme lors de l’utilisation du DSA.


Pourquoi est-elle un outil primordial dans les urgences vitales ? Tout simplement par ce que l’organisme n’aime pas les changements de température. Lorsqu’il a trop froid, il génère des frissons, provoquant des décharges d’énergie musculaire produisant de la chaleur. Pour l’aider l’organisme va mettre en œuvre un certain nombre de dispositifs interne qui vont accroitre l’épaisseur des tissus entre l’extérieur et la masse sanguine afin de la protéger et donc de protéger les éléments fondamentaux de la vie. Notre cerveau va également rappeler le sang présent dans certains organes et aux extrémités (les fameuses extrémités froides et cyanosées – aspect bleuâtre) pour les rapatrier vers les organes nobles et assurer sa survie. En dessous de 34°c de température corporelle centrale, c’est l’hypothermie.


Le froid conserve parait il ? C’est vrai, à tel point que dans certaines stratégies de prise en charge médicale, on provoque une hypothermie majeure afin de conserver les organes dans l’attente d’un retour à une circulation « normale ».


S’il y a hypo, normo, il y a aussi hyper… thermie.  C’est être dessus des valeurs normales de 37.5°c comme l’insolation, le coup de chaleur … et qui n’a rien à voir avec la fièvre. La fièvre est une des composantes dans la réponse inflammatoire à une infection, l’hyperthermie est le phénomène purement mécanique de « je chauffe un corps, sa température monte ».


Vous ne m’avez pas demandé pourquoi il fallait bien envelopper la victime ?


Tout simplement pour éviter les échanges thermiques entre l’air et la victime, le sol et la victime, les objets et la victime perdant ainsi des degrés si précieux. La température ambiante n’est pas la seule responsable des augmentations ou baisses de température. L’absorption de barbiturique ou d’alcool et certaines infections (comme des candidoses) vont faire chuter la température, à contrario les neuroleptiques, septicémie, maladies neurologiques, anesthésies, efforts musculaires prolongés peuvent provoquer une hyperthermie. Il sera donc important de veiller à ne pas descendre en dessous de 35°c et de rester en dessous de 40°c.


Il existe des couvertures de survie adulte, pédiatrique, stérile pour les brulés et ré utilisables.


Rappelez vous qu’il faut la mettre sur toute personne prise de malaise, inconsciente après mise en position latérale de sécurité, blessés et malades sur la voie publique ou sur vous sous forte chaleur ou après un exercice long et important comme une course par exemple.


Quel qu’en soit vos pratiques et ce que vous mettez dans votre trousse de 1ers secours, c’est sûr, elle doit y être. Et lorsque vous l’utiliserez désormais, vous vous empapilloterez, ou le ferez pour la victime.


La Couverture de survie s’appelle également couverture isothermique. Car son objectif est de maintenir la température d’un objet ou d’un corps. Ce n’est donc pas en soi un dispositif pour réchauffer sauf si une action mécanique active (friction par exemple) complète l’action passive.


Isothermique veut dire « même température ».


C’est un produit très diffusé, généraliste mais hautement technique.


Utilisation


La Couverture de survie doit être utilisée sur toute personne au sol, blessée ou prise de malaise.


L’objectif 1er est d’éviter le transfert thermique entre la température corporelle et la température du sol. Ou entre la température corporelle et la température ambiante.


La majorité des couvertures de survie ont 2 faces : 1 argentée et 1 dorée. D’autres peuvent avoir 2 faces argentées.


La Couverture de survie a une triple action :


-      Maintenir la température corporelle à 37°c.


-      Empêcher l’augmentation corporelle de la température. 


-      Prévenir la déshydratation.


Précautions d’emploi


Pour être utilisée correctement, il est important de comprendre que l’hypothermie est un danger pour la vie de la victime. L’hypothermie dégrade les facteurs de coagulation. En cas de saignement, celui-ci sera donc plus difficilement stoppé.


Pour s’assurer de la bonne mise en place, il faut que la victime soit préparée dans un environnement à température contrôlée. La Couverture de survie doit recouvrir le patient de la tête au pied. Il faut l’envelopper afin de faire une barrière entre la victime et l’air ; le sol et la victime.


Si la victime est mouillée il faut la sécher. Si la victime est hypotherme il faut la réchauffer de 0,5°c centrale par heure. Il est important de ne pas provoquer de choc thermique.


Fonctionnement


L’aluminium (côté argenté) présent sur les faces reflète 90% du rayonnement infrarouge produit par le corps ou la lumière du soleil. Les objets chauds émettent spontanément du rayonnement. La face dorée augmente de 50% l’absorption de la chaleur.


En pratique :


-      Vous souhaitez éviter l’hypothermie : face argentée vers votre peau.


-      Vous souhaitez éviter l’hyperthermie : face argentée vers l’extérieur.


-      Le plastique (PET) contenu dans la couverture isothermique assure un rôle de pare-vapeur en isolant la victime de l’humidité ambiante et donc en évitant la déshydratation.


Caractéristiques


Matériel : PET – polyréphtalate d’éthylène (polyester) – plastique + revêtement métallique.


Épaisseur : inférieur au millimètre d’épaisseur – La couverture mesure 13 micromètres = 0 ,013 millimètres.


Dimensions de la Couverture de survie adulte : 140 x 210cm.


3 modes de transferts thermiques existent : Rayonnement / Conduction / Convection.


La Couverture de survie est résistante, imperméable, impérissable.


Il existe 4 modèles :


-      Couverture de survie stérile à usage unique : 140 x 210cm.


-      Couverture de survie réutilisable : 140 x 210cm.


-      Couverture de survie non stérile à usage unique : 140 x 210cm.


-      Couverture de survie pédiatrique : 140 x 110cm.


Précautions d’emploi


-      Ne pas utiliser à côté d’une flamme ou de braises.


-      Réchauffer la victime mouillée avant de la recouvrir.


-      Ne pas l’utiliser en cas d’orage.


-      Il faut placer la couverture sous la tête pour l’isoler du sol mais il ne faut pas recouvrir (emballer) la tête. Le risque d’étouffement est important.


Anecdote


Science & Avenir nous apprends que les « space blankets » (nom en Anglais de la Couverture de survie) étaient utilisée dès 1964 par la NASA (mission Appollo) pour empêcher de nombreux dispositifs expédiés dans l’espace de surchauffer. Un ingénieur d’un sous-traitant en a détourné l’usage à l’occasion d’un marathon pour maintenir sa chaleur. La Couverture de survie est née. 


Source : www.linternaute.com


Où trouve-t-on les couvertures de survie

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